A deux pas de notre appartement, le MADISON SQUARE GARDEN.
Rendez-vous au Battery Park en métro jusqu'à South Ferry pour embarquer vers la Liberty Island afin de rendre visite à la plus célèbre Américaine: La Liberté éclairant le monde.
Nous ne sommes pas les seuls à avoir eu cette idée, apparemment...
Elle n'est pourtant pas loin... mais elle se laisse désirer!
Quelques distractions pendant les 2 heures de queue:
Un peu de grignotage en cours de route.
J'ai préféré des churros, mais à 1 dollar la pièce, c'est carrément l'arnaque!
J'ai préféré des churros, mais à 1 dollar la pièce, c'est carrément l'arnaque!
En plein soleil, à l'abri du vent ça va mieux!
A la nage, on serait déjà arrivé!!!
Après un contrôle de sécurité impressionnant, nous pouvons enfin embarquer.
Superbe vue sur Manhattan et le quartier des affaires.
La couleur du ciel n'est pas truquée, la journée est splendide.
On voit bien l'une des deux tours en construction:
LADY LIBERTY
Merci à la gentille dame italienne pour la photo!
Quelques données:
Du sol à l'extrémité de la torche: 93 m
Du sol au sommet du piédestal: 47 m
Poids total du cuivre: 31 t
Epaisseur des plaques de cuivre: 2,3 mm
La Liberté est tournée vers l'Europe.
Anecdote (Routard):
En 1886, pour l'inauguration de la Statue de la Liberté, on distribua des petites miniatures de Miss Liberty aux personnalités présentes. On se battait pour avoir son exemplaire en minuscule, fabriqué et donc signé par l'entreprise française Gaget-Gauthier. Tout le monde s'interrogeait: "Do you have your Gaget?". Le nom "Gaget", difficile à prononcer, devint vite "Gadget" dans la bouche des Américains. Le mot "gadget" était né.
Petit tour de l'île à pied, on passe près de statues rendant hommage à quelques personnalités liées à la statue:
- Auguste Bartholdi: Le sculpteur consacra deux ans à la statue, dont il modela le visage en s'inspirant de celui de sa mère.
- Gustave Eiffel: Le père de la Tour conçut la structure de la statue, composée d'éléments métalliques imbriqués.
- Richard Morris Hunt: L'architecte new-yorkais dessina le piédestal de 27 m de haut, qui, avec la base, hisse la statue à une cinquantaine de mètres au-dessus du sol.
- Édouard Laboulaye: Cet homme politique et historien français proposa la construction du monument en 1865 et travailla à son projet jusqu'à sa mort en 1884.
- Emma Lazarus: Poétesse américaine d'origine juive à qui on demanda un poème destiné à encourager les dons pour la construction du piédestal. "Je ne peux pas écrire pour donner des ordres", déclara-t-elle. Mais peu de temps après, choquée par les conditions de vie des immigrants en quarantaine et impressionnée par les talents qu'ils pouvaient offrir à l'Amérique, elle écrivit les vers demandés dans "The new Colossus", gravé sur une plaque de bronze dans une paroi du socle de la Statue de la Liberté.
- "The New Colossus"
Not like the brazen giant of Greek fame
With conquering limbs astride from land to land;
Here at our sea-washed, sunset gates shall stand
A mighty woman with a torch, whose flame
Is the imprisoned lightning, and her name
Mother of Exiles. From her beacon-hand
Glows world-wide welcome; her mild eyes command
The air-bridged harbor that twin cities frame,
"Keep, ancient lands, your storied pomp!" cries she
With silent lips. "Give me your tired, your poor,
Your huddled masses yearning to breathe free,
The wretched refuse of your teeming shore,
Send these, the homeless, tempest-tost to me,
I lift my lamp beside the golden door!"Emma LAZARUS (1883)Le Nouveau ColosseNon pas comme ce géant de cuivre célébré par les Anciens,
Dont le talon conquérant enjambait les rivages,
Ici, devant nos portes battues par les flots
Et illuminées par le couchant
Se dressera une femme puissante,
La flamme de sa torche
Est faite de la capture d'un éclair
Et son nom est Mère des Exilés.
De son flambeau
S'échappent des messages de bienvenue au monde entier ;
Son regard bienveillant couvre
Le port, les deux villes qui l'entourent et le ciel qui les domine,
"Garde, Vieux Monde, tes fastes d'un autre âge" proclame-t-elle
De ses lèvres closes. "Donne-moi tes pauvres, tes exténués
Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,
Le rebus de tes rivages surpeuplés,
Envois les moi, les déshérités,
Que la tempête me les rapporte
De ma lumière, j'éclaire la Porte d'Or!" - Joseph Pulitzer: Lorsque l'éditeur du World commença à publier le nom des donateurs ayant financé le piédestal, l'argent se mit à affluer.
Le ferry fait ensuite escale à:
Autre île, autre ambiance... Musée passionnant et émouvant par les nombreux témoignages vivants conservés. On suit le parcours des quelques 12 millions de candidats à l'immigration qui sont passés ici entre 1892 et 1954.
débarquement
Charlie est là aussi, un peu mal en point, besoin de sucre...
Malheureusement, pas le temps de tout faire!
WALL STREET et le Quartier des Finances
balade urbaine, rues sombres et plus étroites pour y arriver
Un bel espace de repos où l'on ne doit pas rester trop longtemps si l'on ne consomme pas!
Là où tout se joue...
Ambiance peace and love pour les INDIGNES new-yorkais.
Placés sous bonne garde.
WORLD TRADE CENTER
encore en cours de construction à ce jour
le travail se fait sans interruption
Magasin Century 21 et resto... on n'en peut vraiment plus! lasagnes et moussaka et au dodo.
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