1ère étape: le musée de la communauté rasta à Shashemene, où nous nous étions déjà arrêtés à l'aller.
Inutile de préciser!!!
une scène pour les concerts
Nous entrons dans le musée. Normalement, les femmes doivent se couvrir la tête.
Inutile de préciser!!!
une scène pour les concerts
Nous entrons dans le musée. Normalement, les femmes doivent se couvrir la tête.
Je n'ai pas retenu les noms mais voici le couple responsable de la communauté, autrement dit les chefs spirituels.
Contrairement aux apparences, c'est l'épouse...
Non, ce n'est pas Johnny Depp!
Malheureusement, la visite se termine de façon dramatique: pendant que Monique compte les billets pour faire un don à la communauté, des jeunes venus de l'extérieur s'emparent de son appareil photo et s'échappent.
Malheureusement, la visite se termine de façon dramatique: pendant que Monique compte les billets pour faire un don à la communauté, des jeunes venus de l'extérieur s'emparent de son appareil photo et s'échappent.
Beaucoup de temps perdu auprès de la police locale qui est d'une incompétence ou plutôt d'une mauvaise volonté incroyable. Il faut la déclaration de vol pour l'assurance mais ils refusent de la donner, je ne sais plus pour quelle raison absolument pas crédible. Les Rastas sont en colère et Yonas regrette amèrement de s'être arrêté ici, il se sent responsable et ne renouvellera pas l'expérience dans cette ville réputée pour ses voleurs. Un étudiant est venu voir ce qui se passait (un groupe de touristes blancs près du poste de police attise la curiosité) et nous dit qu'il a honte de son pays, qui n'est pourtant pas un pays de voleurs. C'est vrai qu'on se sent très tranquille de ce côté-là. Trop, d'ailleurs, ce qui a conduit Monique à être imprudente...
Il est largement temps d'aller manger.
Au resto, les singes viennent voir s'il n'y aurait rien à grappiller.
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